Jo-San, le Jardin du ciel fleuri nous entraîne en Cipango, antique pays du soleil levant où se croisent samouraïs et créatures fantastiques. On y découvre un fabuleux verger, dans lequel évoluent des personnages haut en couleur. Cet ouvrage, à la fois drôle, tendre, et plein de rebondissements, offre une lecture aisée sans pour autant renoncer à un style travaillé et riche en vocabulaire. Outre les qualités attractives de cette aventure – on se demande vraiment comment elle va se terminer – ce roman nous invite, d’une façon originale, à repenser notre rapport à la nature et aux êtres qui nous entourent. Moment de philosophie stimulante, rehaussé par de fraîches illustrations, c’est un récit parfait pour les amateurs de Japon, de belles valeurs et de dépaysement !
Résumé
Au cœur de l’antique contrée de Cipango se trouve un verger mystérieux, cultivé par un étrange jardinier nommé Jo-San. Les fruits venus de cet endroit sont célèbres pour leur saveur extraordinaire, si bien qu’on se les arrache sur toutes les tables… Cette renommée agace Ashihei, maître renommé dans les arts de l’agriculture. Sa jalousie le pousse à vouloir percer le secret de Jo-San par de sournoises méthodes. Déguisé en apprenti, il gagne la confiance du fameux cultivateur et s’introduit dans son domaine sous prétexte de lui prêter main forte et d’apprendre ses techniques. Au fil des jours, il mènera son enquête, allant de surprise en surprise. Cependant, la vérité qui l’attend n’est pas celle qu’il est venu chercher…
Né en 1978 à Toulon, Sylvain Rumello est un enfant particulièrement rêveur, grand amateur de romans d'aventures, de science-fiction et d'héroïc fantasy, ainsi qu'un lecteur boulimique de bandes dessinées, qui abreuve dès son plus jeune âge ses parents et ses copains de récits imaginaires, écrits ou dessinés.
Au cours de son cursus d'étudiant, il fait route peu à peu vers le nord, en passant notamment par Lyon, où il obtient son CAPES et où il commence à enseigner, avant d'être muté à Creil, en Picardie. Il y exerce depuis 16 ans maintenant en collège, auprès d'un public souvent en difficulté qu'il a à cœur de réconcilier avec la littérature.
Durant toutes ces années, il développe plusieurs univers narratifs en puisant son inspiration aussi bien au sein de ses lectures que dans les arts martiaux, qu'il enseigne par ailleurs. Désireux de partager ses histoires, et d'améliorer son savoir-faire d'illustrateur autodidacte, il entame pour cela une formation de trois ans auprès de l'école Lignes et Formations en illustration et bandes dessinées, puis se met à la recherche d'un éditeur.
Sa rencontre avec Joël Lévêque et les éditions A Contresens lui offrent enfin cette opportunité à travers un conte illustré pour petits et grands : Le Petit Homme qui rêvait trop.
Avec son caractère rétro, cette BD consacrée à Adrienne Bolland, pionnière de l’aviation, nous plonge dans l’ambiance du début du dernier siècle. Dans le domaine de l’aviation tout était à écrire, à inventer, tous les records restaient à battre. C’est bien là le but de cette BD : nous inviter, grâce à la finesse du trait, à partager l’atmosphère des premières heures de ces casse-cou qui n’avaient qu’un rêve : voler.
Cet ouvrage fait suite à l’album Les oiseaux bleus – L’épopée des frères Caudron en Baie de Somme. Logique puisqu’Adrienne a été leur élève…
La Voie de l’eau est avant tout un roman illustré rempli de péripéties et empreint de la philosophie et des valeurs des arts martiaux. Par la vivacité du style simple et direct, il entraîne avec facilité le lecteur dans un Japon féodal fantasmé et fantastique. Récit épique, leçons de vie, grandeur d’âme, sont au rendez-vous de cet ouvrage qui suscitera sans nul doute des passions auprès du jeune public.
À conseiller donc sans aucune restriction à ceux qui veulent marcher avec légèreté et sagesse dans les pas de Jubeï ! Notons la qualité des illustrations originales réalisées à l’encre de Chine et qui ajoutent à la fraîcheur du récit.
Sur fond de concurrence entre les deux restaurants du petit village de Chanterelle, il s’agit là d’identifier les mécanismes de la peur et du rejet de l’autre. L’autre, c’est celui qui est différent, par sa couleur de peau, sa tenue vestimentaire, ses mœurs, et ici, la façon de se nourrir.
Pas de leçon de morale, juste une histoire racontée avec humour et légèreté, afin que les enfants comprennent par eux-mêmes certaines réactions d’adultes. Il est question également de montrer que nous sommes tous concernés, quelles que soient notre âge ou nos habitudes de vie.
En conséquence, cet épisode de la collection a de quoi nourrir des conversations et des débats en classe ou en famille.
Dans ce cinquième tome des « Aventures de Chloé », les amis de Chloé, Alice et Olivier sont convoqués au tribunal de sorcellerie internationale afin de prouver leurs bonnes intentions vis-à-vis de la communauté des sorciers. C’est donc l’heure de vérité. Souvenons-nous du premier épisode au cours duquel il avait été précisé qu’il y aurait à un certain moment une mise à l’épreuve. Le courage, l’amitié et la fidélité sont à nouveau présents dans cet épisode, mais dans une atmosphère plus noire, plus complexe. Tout n’est pas dit, les adultes eux-mêmes restent interdits devant des faits inattendus, ce qui ajoute à l’inquiétude…
Après avoir erré à la cuisine à la recherche de sa tutute – et échappé à un tas de dangers que l’on n’imagine pas toujours – Arthur part à la découverte du jardin. C’est effectivement le deuxième lieu dans lequel les plus petits vont faire leurs armes, lieu plein de surprises, de belles choses très attirantes, mais aussi de pièges à éviter. Ce n’est donc pas idiot de la part de l’auteur de traiter ce sujet et de nous donner quelques solutions pour éviter les mauvaises surprises. À noter les très belles illustrations de Séverine qui s’est totalement laissée aller à la création en donnant à cette aventure un caractère savoureux et drôle.
Cet ouvrage bénéficie d’une série de fiches pédagogiques d’accompagnement. Vous pouvez les télécharger gratuitement en cliquant sur les liens suivants :
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